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Batterie d’ordinateur Fujitsu 0644340

L’EFFICACITÉ ANGLO-SAXONNE A ATTIRÉ JEAN-LUC NICOUE
Le gouvernement britannique veut attirer des sociétés étrangères sur son territoire pour créer de nouveaux emplois. Du coup pour créer sa start-up en Angleterre il suffit de passer 5 minutes derière son écran d’ordinateur. Et on retrouve cette légèreté administrative dans toutes les démarches nécessaires pour développer son entreprise.
Lorsque j’étais installé à Paris, j’ai inscrit ma compagnie dans un accélérateur de start-up situé dans le Marais. J’ai dû compléter un dossier d’une quinzaine de pages. Chronofage quand on est seul à travailler dans une entreprise. Une fois la paperasse remplie, ils m’ont dit oui sans poser plus de questions, j’ai eu l’impression qu’ils en voulaient surtout à mon chèque.
A Londres, c’est tout le contraire : pour intégrer l’incubateur londonien Level 39, j’ai simplement complété une feuille A4 recto-verso. Par contre, j’ai eu une série de trois rendez-vous avec les responsables de l’incubateur. Ils étudient les profils de chaque entrepreneur dans le détail avant du dire oui ou non. Une fois qu’ils ont validé ma candidature, j’ai commencé à travailler dans la journée.

Jean-Luc Nicoue dirige Vicking, la société qui gère le logiciel K-Pax. Il permet aux banques de comparer rapidement leurs données de façon automatique.
Propos recueillis par Lélia de Matharel
Dans la famille des ordinateurs à bas coûts pour les pays émergents, on connaît le XO de la fondation OLPC (« One Laptop Per Child » ou « Un portable par enfant »), qui a été créée par des chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology) afin d’offrir des ordinateurs à très bas coûts aux enfants (1,4 million de terminaux auraient déjà été distribués dans le monde, selon l’association). On connaît aussi les Classmate d’Intel, une ligne de PC durcis à petits prix destinés au monde éducatif. Et, dans des pays comme l’Inde ou le Brésil, des équipementiers locaux embarquent de plus en plus souvent le système d’exploitation open source Ubuntu pour proposer des configurations bon marché aux particuliers, selon Gerry Carr, responsable marketing de la société Canonical, le sponsor de la distribution Linux Ubuntu.

Quid des entreprises ? « Pour l’instant, les constructeurs qui proposent des ordinateurs sous Ubuntu le font surtout pour le grand public », explique Gerry Carr. Mais cela devrait changer assez rapidement, d’après lui : « Le nouvel accord que nous avons noué avec Simmtronics va nous permettre de proposer aux professionnels des PC portables abordables sous Ubuntu, configurés pour utiliser les services en ligne LotusLive d’IBM». Il fait suite au développement conjoint, par IBM et Canonical, d’une suite de logiciels et de services en ligne censée offrir aux entreprises une alternative complète à Windows pour les postes de travail, comprenant les outils de bureautique et de collaboration d’IBM (IBM Client for Smart Work).Dans un premier temps, lesdites machines, baptisées Simmbook, seront commercialisées à moins de 200 dollars (149 euros) en Afrique du Sud – pays d’origine de Canonical -, en Inde, au Vietnam et en Thaïlande. A ce prix, elles semblent plutôt avantageuses. Dotés de puces Intel Atom (basse consommation) cadencées à 1,6 gigahertz, les Simmbook disposent en effet d’un gigaoctet de mémoire vive (DDR2), d’un disque SATA de 160 gigaoctets et d’un écran LCD de 10,1 pouces.

Quel est l’intérêt pour IBM ? « Dans les pays en voie de développement, où les accès à Internet ne sont pas aussi répandus que dans les pays riches, les éditeurs de services professionnels en ligne ont intérêt à proposer des solutions mixtes, alliant les nouveaux services en ligne et les logiciels installés localement », selon Gerry Carr. Ensemble, Simmtronics, IBM et Canonical vont proposer l’une des premières solutions de ce type aux entreprises. Gageons qu’il y en aura d’autres.
Le cinquième bouclier anti-intrusion que nous vous présentons dans la série : Blindez vos data est… un programme de protection des applications mobiles. Les salariés utilisent leur smartphone ou leur tablette pour travailler lorsqu’ils ne sont pas directement dans les locaux de leur entreprise. Mais les applications qu’ils téléchargent sur leurs appareils mobiles peuvent être porteuses de virus…
Plus de 8 millions de Français possèdent aujourd’hui une tablette. Plus légère et pratique qu’un ordinateur portable, elle devient de plus en plus un outil de travail pour les salariés, tout comme le smartphone : au deuxième trimestre 2013, les deux tiers des téléphones vendus en France étaient intelligents selon le baromètre trimestriel du marketing mobile.

Mais qui dit appareils mobiles, dit plus grand risque de vol, de connexion à des environnements web non sécurisés, comme les spots wifi publics. Le premier canal de propagation des logiciels malveillants sur les mobiles est le téléchargement d’applications. Les risques de fuites d’informations essentielles pour les entreprises sont multipliés. Pas besoin de retourner au poste fixe pour palier à ce problème. Thalès, Symantec ou encore Denyall ont créé des programmes qui protègent les environnements mobiles, sans les priver pour autant de leurs applications.
BULLE PROFESSIONNELLE DISTINCTE
Thales a développé un programme baptisé Théopad, qui sépare en deux bulles distinctes la vie professionnelle et la vie personnelle des mobinautes sur leur tablette et leur smartphone. Un système d’authentification poussé permet d’accéder aux contenus professionnels, où les données stockées et échangées sont chiffrées, si l’utilisateur du théopad en fait la demande. Ses conversations téléphoniques peuvent elles aussi être codées.
Les applications utilisées dans le cadre professionnel passent à travers le Théopad Sandbox, un pare feu qui vérifie si elles sont ou non saines. Les salariés peuvent télécharger leurs applications professionnelles au sein d’un magasin d’applis sécurisé. Ce système, comme celui développé par Symantec, est compatible avec une grande partie des applications vendues sur l’App Store d’Apple et sur les autres places de vente en ligne.

Le dernier bouclier anti-intrusion que nous présentons dans la série Blindez vos data est… le test de pénétration. Les as de cette technique sont les hackers blancs, qui attaquent les systèmes informatiques des entreprises pour en connaitre les vulnérabilités. Ils analysent leurs failles et permettent aux sociétés concernées de les combler.
Les stratèges militaires en savent quelque chose, la meilleure des défenses est souvent l’attaque. Les entreprises de cyber sécurité vont même plus loin : elles proposent à leurs clients des tests de pénétration, ou pentest dans le jargon des informaticiens. Elles attaquent le système informatique de la société qui cherche à se protéger, pour en détecter les vulnérabilités.
Athéos et Securymind ont recruté des équipes de whitehacks, des pirates qui mettent leurs compétences au service du bien. Chevaux de Troie, dénis de service distribué, dépassement de la mémoire tampon… Grâce à des systèmes utilisés par leurs comparses blackhacks, ils repèrent les failles des programmes web des entreprises. Ils s’y engagent en force, pour voir jusqu’où ils peuvent aller sans être repérés en interne, mais aussi pour tester la réactivité du client.

MALVEILLANCE INTERNE
Ces tests de pénétration peuvent être effectués en externe, hors des locaux de la société, via le réseau wifi ou en ciblant un utilisateur précis sur son poste de travail (interception de ses mails ou de ses communications sur les réseaux sociaux…). Le pentest peut également être pratiqué depuis un ordinateur intégré au serveur de la compagnie, pour simuler une malveillance interne. Ce type d’exercice est effectué en temps limité, pour plus de réalisme.
Les entreprises sont, grâce à ces attaques bienveillantes, prévenues de leurs principales failles de sécurité et peuvent adapter leur système en conséquence. Ce type de test doit bien entendu être réalisé fréquemment pour rester pertinent face à la menace du piratage, en perpétuelle évolution.
Yves Tyrode, le patron de voyages-sncf.com, vient d’être nommé par Guillaume Pépy, à la tête de la direction digitale du groupe SNCF. Une suite finalement assez logique après que l’ancien patron du Technocentre d’Orange ait pris la tête de Voyages-sncf.com en 2011. L’Usine Digitale avait eu l’occasion de l’interviewer sur sa vision du numérique et de la transformation digitiale de l’économie en début d’année. Nous vous livrons ici cet entretien. Convaincu que le numérique est un levier de croissance pour l’Europe, le DG de la plate-forme de voyages croit en un Airbus du net… tout en ayant les yeux rivés sur la Chine.

  1. http://dovendosi.microblr.com/
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